L’ATS pensé pour répondre aux enjeux du secteur de la culture

Le secteur culturel repose en grande partie sur l’intermittence, le freelance, ou des contrats courts liés à des projets ou saisons.  Cette instabilité rend la fidélisation difficile, notamment pour les jeunes talents ou les profils en reconversion.

La gestion administrative est complexe et chronophage pour les structures culturelles, souvent de petite taille.

Les RH doivent structurer des processus agiles d’onboarding et de suivi, même pour des contrats courts, maintenir un lien régulier avec les talents entre deux projets. Enfin, il est nécessaire d'adapter les outils RH à la multi-activité et au travail hybride.

Au-delà des artistes et créateurs, le secteur peine à recruter des techniciens (lumière, son, régie, scénographie), des profils logistiques, ou digitaux (captation, UX, marketing web…).

Ces métiers, pourtant essentiels à la diffusion culturelle, souffrent d’un manque de reconnaissance. Ils sont également très convoités par d’autres secteurs comme l’événementiel ou les médias.

Il faut valoriser ces métiers souvent invisibles mais stratégiques. La montée en compétences internes et les passerelles pro sont à renforcer. Enfin, la marque employeur doit mettre en avant l’impact et la diversité des missions.

Les structures culturelles cherchent à se moderniser pour attirer de nouveaux publics… et de nouvelles générations de professionnels.

Les jeunes talents attendent du sens, de la diversité et un engagement sociétal clair (accessibilité, inclusion, écologie…). Mais les processus RH restent parfois figés ou peu transparents.

Les RH doivent adapter leur communication aux attentes des jeunes candidats. Travailler l’inclusion et la diversité dans les équipes devient un levier d’attractivité. Enfin, la formation continue est clé pour aligner vision artistique et transformation des métiers.